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Sous tes cancers de chaque seconde
Mort cellulaire qui se confondent
Y’a un sourire à l’éphémère
Sous les goudrons qui t’asphyxient
Sous les nuages de poussières
Bien au-delà des colonies
Qui se répandent à ta surface
Vagues de peau qui se déchaîne
Juste un rayon fin sur ta face
Qui ne s’éteint pas quand tu saignes
Et sous la pression qui te broie
Du bout des os qui sont rongés
Sous des milliards de mort de toi
juste un message à protéger
je t’ai aimé
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Des cents mots que j'ai dit je n'en ai pensé qu'un
on ne peut être père et le fils de Pétain
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Titres de bidules :
- L'autre con du condamné
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Début de rien (être brêle) :
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
et moi je serais comme tous ces apôtres
mort de n'avoir pas su faire aimer l'autre