L’entrepôt

L’entrepôt

Ma tête tourne en quatre par quatre
Et elle coupe l'image mentale du loup dans le cyanure du pape clandestin.
J'imagine une jubilation hitlérienne de sons,
Mais l'épice dorsale du dauphin me rappelle que l'homosexualité animale existe.
Quel est le bleu de l'œil où nous vivons?
Le générique sans fin d'une déclaration d'amour à l'eau de jus de poubelle.
La démence citronnelle d'une fabulation biaisée.
Le poivre du midi qui pique les carreaux de ma fenêtre.
Qui vient noircir le désir blanc et multiculturel d'une brume palindromique.
Où se cache l'horrible beauté spectaculaire d'une aile sans queue ni tête.
D'une tisane émiettée au parfum japonais fantaisiste.
Haut soleil levant l'horizon préfixe à la catastrophe.
Joignant peine perdue à peine plurielle.
Peignant la jonction aléatoire d'une pendaison
Où la tignasse juvénile rasée représente la pornographie à son plus haut niveau,
La poêle dramaturge s'y rendra à son propre compte.
Pour compter les rentes perdues d'une falaise échouée et abrupte,
N'exagérant en rien le rapport tertiaire qui existe,
Entre,
Une tête en quatre par quatre.

Celui-là j'ai du mal. Manque de rythme à l'opposé des autres, je crois.