Les nez

Les Nez

Les Nez ne sentaient rien, rien du tout.
Ils tuaient même leurs voisins,
Leurs voisins les Joues.
Mais leur chef,
Leur chef c’était l’œil,
L’œil le tout puissant,
Il pleure.
Son rêve,
Son rêve c’était d’être chirurgien
De façonner la figure du monde,
La figure du monde à sa façon.
C’est pour ça qu’il creusait,
Creusait les Joues.

Mais on ne s’attaque pas comme ça,
Comme ça aux Joues.
Ils n’ont rien fait,
Rien fait les Joues.

Les nez se sont frottés,
Frottés contre le reste de la figure,
Ceux-ci se sont alliés,
Alliés contre les nez,

Eux-mêmes se sont regroupés,
Regroupés avec l’axe,
L’axe de la figure.

Les alliés ont finalement nettoyé,
Nettoyé le nez,
Jusqu’au dernier, au coton-tige,
Ils l’ont nettoyé.

Maintenant la figure est plus ou moins propre,
Plus ou moins propre puisqu’en fait,
Il y aura toujours,
Toujours sur l’épiderme,
Des boutons infectés.


Bon, voilà la situation. La première partie du poème, c'est-à-dire la première strophe, a été écrite pendant un de mes cours d'Histoire. Mais le reste, c'est-à-dire ce qui est en italique, a été composé par la suite. C'est plus un bouche-trou qu'une réelle conclusion à ce que j'avais initialement écrit. J'essaye depuis 1 mois de mieux le terminer, mais on dirait que la métaphore (2ième Guère Mondiale) que j'ai créé ne me sonne plus aucune cloche. Je serais ravi que quelqu'un puisse me débloquer, ou me donner d'autres pistes, d'autres idées, n'importe quoi, quite à en faire une oeuvre coopérative.

Voilà ce qui en est.

Machine à lavement,
Maxime Brillon.

Il me semblait bien que le ébut était meilleur ^^

Je ne sais pas trop quoi te proposer à part un pauvre jeu de mot avec "en joue"
ou les joues jouent
les belles joues nez
l'arme à l'oeil
bouche à oreil

bref

quand on arrive pas à finir c'est chiant hein ? je t'encourage à continuer en tout cas, car le sujet est vraiment original