Parme au centre impossible
Sous les pierres
Je tombe
Au fou qu'on bat
Aux enfants qu'on a aimés
Pour si peu
Et pour rien partent
Sous les pierres
Sous les pierres sont cachés
Si l'on les trouve morts
Des adieux qu'on arrache
En plein ciel
La nature pleine
Parme aux multiples ourlets
Qu'on découd à mesure
Que le temps s'est ouvert
aux pieds du froid, de l'étreinte qu'on a liée
Elle meurt
Au fond
Blanc de peau blanc de peau
Le piano et les plaines
sont entrées
silence je n'ai vu que ton sol
ton vol serrant mon corps
je n'ai que le désordre pour emblème
Souvenirs étrangers
entassés poussières
et la poussière sous le froid du monde
c'est l'homme fatigué
qui tombe
et ne dit rien.
Mots Mots mots.